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Dans la lutte qui reprend inlassablement semaine après semaine entre le pot de terre (le cinéma d’auteur nominé aux Oscars) et le pot de fer (les grosses machines commerciales), au match définitivement nul de mercredi dernier – Le discours d’un roi vs. Rien à déclarer – succède une belle victoire du pot de fer. Tron Legacy (chroniqué ici) transcende en effet son statut de film pop-corn grâce à l’alliance d’une plastique impressionnante et d’une bande-son inspirée.

En face, Black swan () possède des qualités – un souffle lyrique indéniable dans la mise en scène et l’interprétation – et des défauts – un scénario bien faible – du même ordre que Tron Legacy ; mais sa prudence et son sérieux excessifs font que dans son cas, la balance penche de manière moins favorable. Cela dit, ce film reste à voir, comme un plaisant spécimen de délire baroque bien ficelé.

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