• 2009, ce fut aussi…

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…un nombre certain de très très mauvais films aux côtés des très très bons. Parmi
ceux-ci, on (ne) retiendra surtout (pas) le carré d’as suivant :

Lucky Luke   (de James Huth, France – chronique ici) : tout simplement l’un
des pires films que j’ai jamais vus.

Prédictions   (de Alex Proyas, USA – chronique ici) : 9 années sur 10, Prédictions remporterait haut la main le titre d’infamie de l’année pour l’ensemble de son
oeuvre. Mais cette fois-ci, en face il y avait le concurrent que l’on sait.

2012  (de Roland Emmerich, USA – chronique ici) : un navet tellement renversant qu’il parvient même à ne pas tenir ses maigres
promesses (de scènes spectaculaires
à la hauteur de son pitch).

Le ruban blanc  (de Michael Haneke, Allemagne – chronique ici) : la Palme d’Or la plus gonflante et imbue d’elle-même depuis
Dancer in the dark.

Ce carré d’as s’accompagne d’un joker, qui m’est soufflé par MaFemme (elle l’a vu
et moi non) : Les regrets (de Cédric Kahn, France), qui selon elle ne méritait certainement pas les 8 heures qu’il
force le spectateur à rester dans la salle.

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